Sylvie

Haumont

Bonjour,

J’ai 50 ans et, l’an dernier, à la suite d’une mammographie de contrôle, le médecin a relevé des calcifications dans le sein droit. À priori, rien de grave.

Cependant, par sécurité, les médecins ont préconisé une biopsie « pour être sûr que tout va bien ». Ok, je fais la biopsie.

À la suite de cette biopsie, on m’informe que des cellules cancéreuses ont été détectées et, là, « la machine » s’est mise en route !

Ma gynécologue avait déjà pris un rendez-vous pour moi chez une de ses consœurs spécialiste du cancer du sein, je la rencontre et elle m’informe qu’il faut enlever les calcifications (opération déjà programmé 10 jours plus tard) et qu’un mois après l’intervention, je devrais faire 6 semaines de radiothérapie « par sécurité » !

Sur le moment, abasourdie par le déferlement d’infos, je suis d’accord pour enlever les calcifications problématiques et ne me prononce pas pour la suite.

Rentrée à la maison, je réfléchis et mon intuition, mon ressenti ne vont pas du tout dans le sens des médecins. Je ne comprends pas pourquoi je devrais faire de la radiothérapie, affaiblir et intoxiquer mon corps alors qu’il a besoin de toutes ses ressources pour guérir.

Une semaine après l’intervention on m’annonce qu’il subsiste quelques cellules cancéreuses dans les tissus excisés autour des calcifications et donc qu’il faut m’enlever le sein droit suivi d’une reconstruction immédiate.

Là, cela en est trop et je dis droit dans les yeux au médecin « NON. Il n’en est pas question ! Je ne ferai ni radiothérapie ni une ablation du sein. »

Mon corps guérira tout seul en supprimant les sucres de mon alimentation, toute médication hormonale (contraception) et je vais jeûner pour activer l’autophagie et l’autoguérison de mon corps. Merci aux vidéos de G. Tenebaum

Le médecin me regarde avec des yeux ronds en me disant « mais vous ne vous rendez pas compte, c’est dangereux et puis on ne supprime pas le sucre comme ça, votre organisme a besoin d’un minimum de sucre ! »

Elle me propose même de rencontrer l’équipe de psychologues du service pour en discuter. Je lui répond que NON je vais très bien et je sais ce qui est bon ou mauvais pour mon corps.

Voilà, depuis je fais une prise de sang tous les 3 mois, je me porte comme un charme. J’ai fait, sur un an, 3 jeûnes : 1 de 9 jours avant l’intervention, 1 de 7 jours après l’intervention et 1 cette année-ci de 10 jours. J’ai supprimé les sucres, l’alcool, les aliments transformés, le gluten et mange végétarien.
J’ai adopté le jeûne intermittent tout au long de l’année.

Je suis également partie en Inde faire une cure Panchakarma dans un Ashram, histoire de détoxiquer complètement mon organisme et je me sens en pleine forme. Prise de sang à l’appui.

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