Charles

Ravillon

Diagnosté depuis l’âge de 16 ans pour une RCH, je suivais un traitement coûteux pour la sécurité sociale et peu efficace ( Pentasa). On m’a proposé un traitement immuno-suppresseur , environ 1000 euros par mois à la charge de la collectivité, mais qui rapporte énormément à l’industrie pharmaceutique car ce sont des molécules encore sous brevet. Après une crise grave en 2020, qui m’avait fait faire un séjour à l’hôpital, j’ai subi des pressions de la part du personnel médical pour suivre ce qu’ils appellent un “traitement de fond”, c’est à prendre à vie un médicament extrêmement coûteux. J’ai pu résister à cette pression grâce à la liberté de pensée que m’a donné le discours de Thierry. Il s’est avéré que ma crise était d’origine microbienne et qu’un traitement immuno-suppresseur aurait sans doute aggravé mon état. Aujourd’hui, je n’ai plus aucun symptômes et je ne prends plus aucun médicament car , comme le préconise l’approche naturopathique prônée par Thierry, j’ai travaillé sur le terrain de la maladie : je ne prends plus aucun produit laitier, je ne mange que du pain au levain (minimum 24 h de fermentation), j’ai fait une cure de fruits qui favorisent une flore intestinale saine : mangue, papaye, ananas, pommes sans pesticides. Il m’a fallu un an et demi après une prise massive d’antibiotiques pour retrouver une flore intestinale correcte. Le travail de terrain pour une Mici, c’est aussi favoriser la restauration d’une muqueuse intestinale imperméable, car c’est la proliferation d’éléments indésirables qui déclenchent la plupart des crises. Des massages régulier du côlon peuvent aider aussi. Mon expérience m’a permis de comprendre que ma maladie était le résultat de pratiques alimentaires désastreuses pendant mon adolescence. Elle m’a permis de voir l’extraordinaire pression que subissent les médecins pour imposer à leurs patients des traitements au long court les plus coûteux possibles , c’est à dire les plus rentables pour l’industrie pharmaceutique. J’ai bien conscience que les problèmes que subit Thierry n’ont strictement rien à voir avec une quelconque dérive sectaire ( je n’ai rien sacrifié dans ma vie personnelle et il ne m’a jamais demandé d’argent) mais uniquement avec la puissance du lobby pharmaceutique et son noyautage au plus haut niveau de l’État. Voir sur ce sujet le livre lobbitomie, écrit par Stéphane Horel, une journaliste du Monde en 2019.

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